| Principales informations regroupées de juillet à décembre 2004. Nouveautés CD & DVD« Operetten Quergehört »
Pianos Steinway : Theiner et Breitner Wort Ton Art 2004 Weinberg Records SW010210-2 Autre expérience avec ce CD. Le duo de pianos « Lilo Theiner et Walter Breitner » consacre ce CD à des paraphrases sur des mélodies célèbres du monde de l'Opérette. Un site du nom même du duo (anglais/allemand) vous donne toutes les informations sur ce duo, son répertoire, ses collaborations, ses concerts. Il permet également de commander leurs CD.
Paul Kont, Balduin Sulzer, Paul Walter Fürst, Heinrich Gattermeyer ont signé ces arrangements, variations. Nous devons à Walter Breitner, lui-même, cette « Frühjahrspara-phrasen », construite à partir des 6 valses de l'Opérette de Robert Stolz. Il est également l'auteur de « Ein Amerikaner in Schönbrunn » à partir de la valse de Lanner. Comment Gershwin, Irving Berlin ou Cole Porter auraient composé cette valse ? Ou Lanner, si ce dernier avait connu le jazz symphonique ? Christina Agnes Weiske - « Operette & Musical »
Christina Agnes Weiske, soprano Ingrid Krauß, soprano Thomas Georgi, baryton Peter Renz, ténor Deutsches Filmorchester Babelsberg Direction : Günter Joseck
Référence: MONOPOL 36 553 CY
Ce CD enregistré par la soprano vedette du Metropol Theater de Berlin, sous la direction de son chef d'orchestre donne un aperçu du répertoire de cet théâtre consacré à l'opérette.
Quatorze airs de comédies musicales américaine (Funny Girl, My Fair Lady, ...), d'opérettes classiques comme Der Bettelstudent ou Der VogelHändler. Robert Stolz est représenté par une valse extraite de Parade de Printemps : « Wenn sich zwei wie wir gegenüberstehn ». « Hilde Güden sings Operetta Evergreens »Vienna State Opera Orchestra Vienna Operetta Chorus Direction : Robert STOLZ Référence: DECCA Londres 475 394-2
Cet album vient de se voir décerner le « DIAPASON D'OR » par les membres de la rédaction de la revue DIAPASON.
« Voilà bien, et ce n'est pas trop tôt, la collection que non seulement les discophiles las des compilations mais aussi les amateurs d'opéra dans leur ensemble attendaient. ... Preiser avait réédité deux récitals de Hilde Güden couvrant, dans des répertoires divers (...), les années 1942 à 1954. C'est à la gloire de l'opérette qu'est dédié ce programme de 1961 dirigé avec amour par Robert Stolz, spécialiste en la matière. La voix ? Fraîche, exquise, avec ce rien de malice dans le sourire qui donne au chant sa couleur et son charme. Une étoile qui brilla longtemps au firmament de l'Opéra de Vienne, et que le disque sut honorer à travers Mozart (Zerline avec Krips, Suzanne avec Kleiber) ou Strauss (ses Sophie auprès de Kleiber et, live, Karajan), sans oublier Lehar (une Veuve de haute lignée sous la baguette de Stolz) et Stravinsky - le maître la choisit comme Anne Trulove pour son intégrale du Rake's Progress de 1953.» M. P. - DIAPASON - Juillet / Août 2004 Autre récompense : le « TIMBRE de PLATINE » de la revue OPERA International. « Révérence gardée à Elizabeth Schwarzkopf, à Lucia Popp et à Anneliese Rothenberger, en 1961, Hilde Güden gravait la plus vraie, la plus sincère, la plus spontanée des anthologies viennoises : douze airs d'opérette de Strauß, Lehar, Kalman et Stolz, entonnés comme autant d'évidences, avec cette pointe d'acidité plébéienne qui sied au genre, ce mélange de bienséance viennoise et d'impudeur magyar, ce brillant du timbre de la Kammersängerin straussienne. A peine distribués en France du temps du vinyle, reparu en licence Preiser il y a dix ans, ces Operetta Evergreens restent le disque inoxydable de viennoiseries coupables.» OPERA International - Juillet / Août 2004. « Hilde Güden avec Robert Stolz au pupitre, c'est toute une certaine Vienne, légère, émoustillée, irrésistible. La seule qualité qui ait manqué à cette voix d'or, c'est la noblesse. Ici elle n'en a que faire, la beauté (du timbre, du visage) est assez. Ici elle préfère Adele à Rosalinde, son Sei nicht bös est à fondre, le répertoire est secondaire, mais l'effet est magique (note 8/10).» A. T. - CLASSICA - Juillet / Août 2004. « Hilde Guden, fameuse Suzanne de l'enregistrement mythique d'Erich Kleiber des Nozze di Figaro de Mozart, est ici notre reine du Cross-Over. Son CD est entièrement consacré à un florilège d'airs fameux d'opérettes viennoises et c'est un vrai régal. Sachant admirablement doser sa voix de soprano léger pour en faire des coloratures idéales, elle nous présente un programme peu fréquenté par nos concitoyens, mais favori des anglo-saxons. Qu'on se rassure, on se laisse entraîner sans effort par cette cure de gaîté et de fraîcheur, toujours de bon goût. De mère italienne et de père hongrois, Hilde Guden est née à Vienne et fut une artiste particulièrement éclectique, aussi bien à l'aise dans Mozart et Richard Strauss que dans Johan Strauss et Franz Lehar. Il est vrai qu'elle avait débuté d'abord dans l'opérette en 1934. A partir de 1939, elle aborde à Zurich l'Opéra avec le rôle de Cherubino, puis viennent successivement Despina, Sophie, et Zerline. Plus tard, elle abordera même le répertoire contemporain avec Mahagonny de Weill, The Rape of Lucretia de Britten, The Rake's Progress de Stravinsky, etc. Le programme qui nous est proposé ici est particulièrement varié et fait la part belle à Johann Strauss II, bien sûr, avec le choeur des nonnes de Casanova, le Mein Herr Marquis de Chauve-Souris et surtout un sublime Wiener blut. Franz Lehar, Emmerich Kalman, Oscar Strauss et Robert Stolz sont admirablement servis. Notre soprano viennoise a 44 ans au moment de l'enregistrement et, ce qui surprend et passionne, c'est qu'elle modèle chaque personnage de façon différente, donnant une grâce particulière à chacune des héroïnes, de la noblesse de la Comtesse Maritza à la simplicité canaille d'Adèle. Sans aucune lassitude, un disque à écouter et à réécouter les jours de pluie ou de spleen? » Michel Slama - ANACLASE.Com James Last - « ZDF Kultnacht »DVD POLYDOR 06024 9818954
Dominique Wilkie - « Révélation »Orchestra Filarmonica Ucraina Orchestre Symphonique d'EDF Françoise Gangloff, orgue Marie-Benédicte Cohu, piano Bernard Bonhomme, clarinette Direction : Claire LEVACHER
Référence: MSP DW 095 Le tout premier CD de cette soprano, membre de l'Orchestre Symphonique d'Electricité de France, vient de sortir des presses. Un programme essentiellement verdien avec un hommage particulier à Robert Stolz : 4 airs du compositeur dont son « Ave Maria » enregistré à l'Eglise St Roch de Paris et en première mondiale, « Who knows » extrait de sa comédie musicale « Mister Strauss goes to Boston ».
« Swinging Bassoon »
Michael Bartl / Uwe Rebers / Detlef Klestil / Rudolf Peters
Référence: CASTIGO CD 02408
Un concept tout à fait original, des œuvres diverses puisées dans des répertoires variés interprétées par un quatuor singulier composé exclusivement de bassons et d'un contrebasson.
« Der Himmel auf Erden »Réalisateur : E. W. Emo Comédiens : Heinz Rühmann, Adele Sandrock, Hermann Thimig, Hans Moser Musique : Robert Stolz
Parution en DVD, fin juin, de ce film datant de 1935. Entre 1935 et 1937, Robert Stolz a composé la musique de cinq films du réalisateur E.-W. Emo : « Der Himmel auf Erden » (1935), « Zirkus Saran » (1935), « Wer zuletzt küßt » (1936), « Die Austernlilli » (1937) und « Musik für Dich » (1937). Après cette date, Robert Stolz ne composera plus de musique de film en Allemagne. Il faudra attendre son exil aux Etats-Unis et 1940 avec la musique de « Spring Parade ».
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