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1er semestre 2003

 

Principales informations regroupées de janvier à juin 2003.

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Barbara Bonney

En clôture de ces concerts, et en particulier de ces derniers récitals à Bordeaux, Paris (Théâtre des Champs-Elysées), à Gstaad, ... Barbara Bonney interprète toujours quelques airs viennois de Strauß, Lehar, Stolz et Sieczynsky. D'autre part, elle a enregistré également « Die lustige Witwe » sous la direction de John Eliot Gardiner en 1995. Il était donc naturel, qu'un jour, cela se tranforme en un CD. C'est chose faite avec ce CD « Im chambre séparée » qui sort le 3 juin sous le label DECCA. Elle est accompagnée par Ronald Schneider au piano.

Elle se produit en ce moment en Europe soit avec l'orchestre de San Francisco sous la direction de Michael Tilson-Thomas (le 25 mai à Paris), soit en récital (Londres le 3 juin, Vienne le 11, Dresde le 14, le 16 à Dusseldorf, ...).

Barbara Bonney, Soprano,

Ronald Schneider, Piano.

 

Référence: DECCA 473 473-2

 

[1] - Im chambre séparée (Der Opernball - Richard Heuberger)[10] - Es muß was Wunderbares sein (Im weißen Rößl - Ralph Benatzky)
[2] - Ich schenk mein Herz (Die Dubarry - Karl Millocker) [11] - Im Salzkammergut (Im weißen Rößl - Ralph Benatzky)
[3] - Ich bin die Christel von der Post (Der Vogelhändler - Carl Zeller)[12] - Du nur bist das Glück meines Lebens (Die Viegeliebte - Nico Dostal)
[4] - Sei nicht bös (Der Obersteiger - Carl Zeller)[13] - Strahlender Mond (Der Vetter aus Dingsda - Eduard Künneke)
[5] - Du sollst der Kaiser meiner Seele sein (Der Favorit - Robert Stolz)[14] - Vilja Lied (Die lustige Witwe - Franz Lehár)
[6] - Als geblüht der Kirschenbaum (Der Vogelhändler - Carl Zeller)[15] - Sah ein Knab ein Röslein stehn (Friederike - Franz Lehár)
[7] - Draußen in Sievering (Die Tänzerin - Johann Strauß)[16] - Einer wird kommen (Der Zarewitsch - Franz Lehár)
[8] - Schwips Lied (Eine Nacht in Venedig - Johann Strauß)[17] - Meine Lippen, die küssen so heiss (Giuditta - Franz Lehár)
[9] - Mein Herr Marquis (Die Fledermaus - Johann Strauß)[18] - Wien, Wien, nur du allein (Rudolf Sieczynsky)

Biographie

SUR LA SCÈNE DES PLUS GRANDS OPÉRAS DU MONDE

"L'équilibre, la beauté et l'expressivité de sa voix, son intelligence et... sa personnalité en font l'une des plus grandes interprètes de lieder de sa génération. On ne voit pas qui, à l'heure actuelle, pourrait la surpasser." (Classic CD)
Douée d'un immense talent en récital comme en concert, Barbara Bonney s'est distinguée par ses interprétations de Mozart et de Strauss sur la scène des plus grands opéras du monde. Considérée comme la meilleure interprète de lieder de sa génération, elle est surtout appréciée pour la clarté et l'éclat de sa voix, ses dons d'interprète, la variété de son style et l'ampleur de son répertoire, qui va du baroque au vingtième siècle. Les récitals de lieder aux programmes soignés, sur lesquels s'est édifiée sa carrière, témoignent de l'étendue de ses choix et de sa capacité exceptionnelle à interpréter les moindres nuances du texte : elle chante aussi bien des mélodies peu connues de Mendelssohn ou de Clara Schumann, de Benjamin Britten ou de Zemlinsky que des œuvres plus familières de Schubert ou de Wolf. Sa discographie comporte plus de soixante-dix enregistrements parus sous les plus grands labels, dont London/Decca, Deutsche Grammophon, Teldec, Angel/EMI et Philips.
Née à Montclair dans le New Jersey en 1956, Barbara Bonney commence le piano à cinq ans puis le violoncelle, trois ans plus tard. A l'âge de 13 ans, elle va s'installer avec sa famille dans le Maine, où elle joue dans le Portland Symphony Youth Orchestra. Après deux ans passés à l'université du New Hampshire, où elle fait des études de musique et d'allemand, elle décide de passer son année de stage à l'étranger à l'université de Salzbourg pour perfectionner son allemand. Ce séjour marque un tournant dans la carrière de Bonney : à Salzbourg, elle s'inscrit au cours de chant du Mozarteum et se produit en soliste avec plusieurs chorales de Salzbourg. Elle est engagée ensuite par l'Opéra de la ville de Darmstadt en Allemagne et, après des débuts en Anna dans les Joyeuses Commères de Windsor de Nicolai, participe à la plupart des productions des quatre années suivantes - quelque 40 rôles. Durant la saison 1983-1984, on la retrouve à l'Opéra de Francfort.
Suivent alors, à intervalles très rapprochés, d'importants débuts avec de grands chefs d'orchestre : elle incarne sa première Sophie avec Carlos Kleiber au Festival d'été de Munich en 1984, et interprète ce rôle pour la première fois à Covent Garden avec Sir Georg Solti, la même année ; elle débute à la Scala en Pamina sous la direction de Wolfgang Sawallisch, avec la Philharmonie de Vienne dans le Requiem de Brahms dirigé par Carlo Maria Giulini, et au Metropolitan Opera en 1987, où elle chante Nyade dans Ariadne auf Naxos de Strauss avec James Levine. C'est en Sophie qu'elle fait ses débuts à l'Opéra d'État de Vienne dans Rosenkavalier en 1987.

SOLLICITÉE PAR LES PLUS GRANDS CHEFS D'ORCHESTRE

En 1996, Bonney signe un contrat d'exclusivité avec Decca. Parmi ses nombreux récitals : des mélodies américaines du vingtième siècle avec André Previn au piano, dont Vocalise et Miss Sallie Chisum remembers Billy the Kid que Previn a composé spécialement à son intention ; avec Ashkenazy, des lieder de Robert et Clara Schumann qui lui valent un Diapason d'or ; et, avec Malcolm Martineau, des airs de Richard Strauss dont BBC Music Magazine saluera la parution en termes élogieux ("le disque que nous attendions tous"). Bonney enregistre également la Nelsonmesse de Haydn avec Christopher Hogwood, des scènes extraites des opéras de Richard Strauss en compagnie de Renée Fleming, Susan Graham et Christoph Eschenbach à la tête de la Philharmonie de Vienne, et un disque où figure le Stabat Mater de Pergolèse avec Andreas Scholl et Les Talens Lyriques dirigé par Christophe Rousset. Sa discographie comprend aussi un disque entièrement consacré aux arias et duos lyriques de Mozart avec des artistes comme Bryn Terfel ; La Clemenza di Tito sous la direction de Hogwood et un enregistrement de l'opéra comique de Poulenc, Les Mamelles de Tirésias, avec Seiji Ozawa et l'Orchestre de Saito Kinen, édité par Philips.
Le recueil de mélodies Diamonds in the Snow, enregistré par Bonney avec Antonio Pappano au piano, a reçu le Prix Gramophone dans la catégorie du meilleur enregistrement vocal solo de 2000. Est aussi paru Fairest Isle, un choix de mélodies anglaises signées Purcell, Dowland, Morley et Byrd, auxquelles Bonney "apporte individuellement toute l'intensité expressive nécessaire" (Sunday Telegraph).
Bonney se produit régulièrement à l'Opéra d'État de Vienne, au Metropolitan Opera, à Covent Garden, à l'Opéra Bastille et au Châtelet. Ses interprétations de Sophie dans Der Rosenkavalier sous la direction de Sir Georg Solti et de Carlos Kleiber sont disponibles en vidéo, ainsi que ses prestations dans Falstaff et Ariadne auf Naxos au Metropolitan Opera. Elle a incarné Pamina dans Die Zauberflöte et Susanna dans Le Nozze di Figaro dans le monde entier et a débuté à l'Opéra de San Francisco en Ilia dans Idomeneo de Mozart. "Barbara Bonney est sollicitée aujourd'hui par les plus grands chefs d'orchestre - leur estime est à la mesure de ses dons vocaux et de son sens de la musique exceptionnels". Bonney s'est produite régulièrement avec la Philharmonie de Vienne sous la direction de Seiji Ozawa et Riccardo Muti, avec la Philharmonie de Berlin dirigée par Claudio Abbado, avec l'Orchestre symphonique de Boston dirigé par Seiji Ozawa et André Previn, avec l'Orchestre symphonique de la Radio de Berlin et le Philharmonia de Londres sous la direction de Vladimir Ashkenazy ainsi qu'avec trois des formations les plus respectées d'Europe en matière d'authenticité - l'English Concert mené par Trevor Pinnock, le Concentus Musicus de Vienne par Nikolaus Harnoncourt, et les English Baroque Soloists par John Eliot Gardiner.

TRADITION DE LA POÉSIE MUSICALE ET INTIMITÉ AVEC LE PUBLIC

Si Barbara Bonney préfère les récitals de lieder à toute autre forme de prestation musicale, c'est parce qu'ils créent une intimité avec le public et l'interpellent, favorisent la communication et facilitent la participation de chacun à l'expérience musicale. Résolue à transmettre la tradition de la poésie musicale et du récital aux générations futures, tout en poursuivant sa carrière, elle anime avec passion des "masterclasses" destinées aux jeunes interprètes ; celles-ci se déroulent souvent dans le cadre des grands festivals et dans les capitales musicales du monde entier, en marge de ses propres récitals. Bonney donne de nombreux récitals de lieder dans le monde entier, notamment à Bruxelles, Stockholm, Madrid, Lisbonne, Vienne, Graz, à la Schubertiade de Lindau et de Feldkirch, et à Hong-Kong. Elle inaugure la saison 1999-2000 du Wigmore Hall de Londres, dans le cadre d'une série de récitals en l'honneur de Goethe.
L'année 2000 est entièrement consacrée à des concerts et des récitals. Bonney effectue une tournée européenne avec Maris Janssons à la tête de l'Orchestre philharmonique d'Oslo et Riccardo Chailly au pupitre de l'Orchestre royal du Concertgebouw. Elle donne un récital au Mozartwoche de Salzbourg, et de nombreux autres en Amérique, notamment aux festivals de Tanglewood et de Ravinia et au Carnegie Hall de New York. Elle se produit dans toute l'Europe, surtout à Londres (Wigmore Hall), Munich, Paris, Baden-Baden, Moscou, Toulouse et Amsterdam. Elle se rend, en outre, au Japon pour des récitals et des concerts au Festival de Saito Kinen avec Seiji Ozawa. En mai 2000, Miss Bonney reçoit un doctorat honoris causa de l'Université du New Hampshire où elle a fait ses études.
Barbara Bonney a commémoré la "Grande Tournée du rossignol suédois", Jenny Lind, aux États-Unis en 1850/51 par une série de conférences et de récitals. Elle a commenté également le concours de chant de Cardiff à l'occasion d'interviews avec la BBC. Ont figuré aussi à son programme de travail pour 2001 une tournée européenne avec Andreas Scholl, des concerts avec l'Orchestre symphonique de Boston sous la direction de Seiji Ozawa, et avec l'Orchestre de Cleveland Orchestra dirigé par Franz Welser-Möst, la Symphonie n° 9 de Beethoven avec Sir Simon Rattle à Tokyo, ainsi que des prestations au Festival de Salzbourg et aux Proms de Londres avec l'Orchestre symphonique de Göteborg. Elle a pris, en outre, le rôle de Zdenka dans une nouvelle production d'Arabella au Met de New York. Passionnée de golf, elle adore la cuisine et la broderie.
Barbara Bonney vit à Londres avec son époux, Maurice Whitaker, administrateur dans le domaine musical. (source DECCA France)

Discographie

Sa discographie complète est disponible sur le site de DECCA : discographie

Remerciements

Remerciements particuliers à Ken et à Laurent Gaveau pour leur concours.

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« Die schönsten Melodien »

Dans sa collection « The sound of Austria » TYROLIS fait paraître un nouveau CD consacré à Robert STOLZ. Ce label est basé en Autriche avec des filiales en Suisse et en Allemagne. Le programme se rapproche de celui du CD Turicaphon avec deux grands medleys « Mélodies de Robert Stolz » et « Wenn die kleinen Veilchen blühn ». Cinq titres de Johann Strauß, père et fils, complètent ce CD. Robert Stolz dirige l'orchestre symphonique de Vienne. Sylvia Schramm et Horst Winter assurent la partie vocale pour « Gibt's in Wien a Hetz, a Drahrerei » et pour « Kleine Melodie aus Wien » . Pas de livret, ni d'indication de dates d'enregistrement.

Orchestre Symphonique de Vienne,

Hoch und Deutschmeister *

Schönnbrunner Schlossquartett **

 

Référence: TYROSTAR CD L 777 356.

 

[1] - Frühlingsstimmen [9] - Gruß aus Wien
[2] - Melodien von Robert Stolz [10] - Annen-Polka
[3] - Gibt's in Wien a Hetz, a Drahrerei **[11] - Tritsch-Tratsch-Polka
[4] - Im Prater blüh'n wieder die Bäume **[12] - Wenn die kleinen Veilchen blühn
[5] - Wiener Café[13] - Frühjahrsparade
[6] - Radetzky-Marsch[14] - Wo die Zitronen blühn
[7] - Uno-Marsch[15] - Kleine Melodie aus Wien  
[8] - Adieu, mein kleiner Gardeoffizier *

Le pot-pourri « Melodien von Robert Stolz  » est composé (dans le désordre) de : Du sollst der Kaiser meiner Seele sein - Zwei Herzen im Dreivierteltakt - Du bist mein schönster Liebestraum - Im Prater blüh'n wieder die Bäume - Wien wird schön erst bei Nacht - Weiß nicht warum ich dich liebe - Der Frühling in Wien - Hallo du süße kleine Klingelfee - Servus du, flüstert sie - Die ganze Welt ist himmelblau - Salome - Adieu, mein kleiner Gardeoffizier.

Le pot-pourri de l'opérette « Wenn die kleinen Veilchen blühn » est composé de : Das wird heut' lustig sein - Servus, du gute alte Zeit - Kind, weine nicht -Der Herrgott schrieb: O habt euch lieb -Zu dir zieht es mich magisch hin -Du, du, du schließ deine Augen zu -In Bacharach am Rhein -Die schönsten Nelken, die müssen welken - Ich hab ein Mädel gern -Wenn die kleinen Veilchen blühen - Im Casino, da steht ein Piano -Es lebe die Liebe.

Ce CD peut être commandé sur le site de JPC ou d'Amazon.

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DVD « Wiener Eisrevue »Couverture du DVD

La « Wiener Eisrevue » fut créée en 1945 à Klagenfurt et la « Austria Wochenschau » quatre  années plus tard. Dés 1949, cette revue va sillonner l'Europe, de Berlin à Moscou, de Prague à Munich, en passant par Vienne. Son histoire s'achévera en 1972 à Rotterdam.

Will Petter en fut le directeur artistique et Robert Stolz, dernier grand Maître de la musique viennoise, le compositeur, l'arrangeur, jusqu'à sa dissolution, ne pouvant résister à la concurrence américaine d'Holiday on Ice. A la fin de chaque programme, les accords du Beau Danube bleu ou d'une valse de Robert Solz résonnaient.

Se reporter à la page revues sur glace pour connaître l'intégralité des compositions de Robert Stolz dès la saison 1949 à la toute dernière, celle de 1971/1972.

Cette parution vient en appui à une exposition que se tient en février et mars à la « Haus Wien Energie » et consacrée à la tradition du patinage viennois.

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Graz 2003

Comme annoncé dans la page de septembre 2002 du site, Graz a été désignée « capitaleGraz2003-Collage.gif (170145 octets) européenne de la culture 2003 ».

De nombreuses manifestations, des concerts, des expositions, des reportages TV dont ceux d'ARTE vont jalonnées toute cette année 2003, et Robert Stolz, natif de Graz, sera présent, avec un temps fort, courant mai. Dans l'immédiat, à signaler une conférence-causerie historico-musicale dans les locaux du musée Robert Stolz, le mercredi 26 février, sur la dynastie Stolz :

Au carrefour des cultures européennes depuis des siècles, Graz est située dans le sud-est de l'Autriche dans la vallée pittoresque de la Mur, à  40  kilomètres  de  la Slovénie. Au Moyen Age et à l'époque de la Renaissance, Graz était la résidence de la Cour  des Habsbourg. Aujourd'hui, Graz,  capitale de la Styrie avec 300 000 habitants, constitue la seconde agglomération après Vienne. Elle possède l'un des plus beaux centres  historiques d'Europe centrale. La Vieille Ville de Graz est l'une des  mieux  préservées d'Europe et a été inscrite au Patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1999.

Parmi les principales curiosités de la ville, à mentionner :

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la Hauptplatz au coeur de la cité entourée par de belles demeures coiffées de toits de tuiles brunes et en particulier la maison Luegg avec sa suite d'arcades et une façade décorée de stucs du 17ème, 

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le Landhaus, ancien siège de la Diète de Styrie, palais renaissance construit de 1557 à 1565 par l'architecte italien Domineco dell'Allio avec sa cour intérieure à trois étages d'arcades pleine d'élégance méridionale,

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l'arsenal dont la construction remonte à 1642. Il fut en son temps un des plus grand du monde. A ce jour, c'est le seul conservé avec ses aménagements d'origine. 29 000 armes de toutes sortes y sont exposées dans les 4 étages du bâtiment,

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le Schlossberg avec ses jardins en terrasse qui domine la ville avec ses 120 mètres. De la forteresse démantelée par les armées de Napoléon ne subsiste que la tour de l'horloge et la tour de la cloche (Glockenturm). Longtemps, une plaque commémorative de Jakob Stolz fut apposée sur une des faces de la tour de l'horloge. Cette tour dont les 4 faces sont agrémentées d'un cadran sont surmontées d'une galerie de bois. La vue sur la ville et la vallée de la Mur est superbe,

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Et bien sûr, la Mehlplatz et son musée Robert Stolz, le parc avec sa promenade et son monument Robert Stolz. (voir biographie).

« Personality Walk »

Einzi et Robert Stolz sur la MehlplatzA signaler que le 15 janvier dernier, dans l'enceinte du musée municipal de Graz, Gerhard M. Dienes a présenté le projet « Personality Walk ». Il s'agit d'une plate-forme Internet touchant tous les arts et rassemblant sous forme de banque de données, des informations sur plus de 280 personnalités originaires deRobert Stolz au Stadtpark dans la promenade R. Stolz Graz ayant marqué ces arts de l'an 100 à nos jours.

On y retrouve donc des poètes, des médecins, des Prix Nobel, des compositeurs (Jakob et Robert Stolz), des chefs d'orchestre (Karl Böhm, Nikolai Harnoncourt), des peintres, des écrivains, ...

Cette base de données va se développer tout au long de l'année avec, pour chaque personnalité, en plus d'une courte biographie, une bibliographie, des liens internet, des photos ou encore des documents vidéo ou sonores, ...

Pour s'y connecter : http://www.stadtmuseum-graz.at/pwalk

 

 

 

Plaque apposée sur la maison natale de R. Stolz

Diplôme de Citoyen d'honneur

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Pour davantage d'informations, contactez :

Société Internationale Robert STOLZ
19, rue de Ville d'Avray F-92310 SEVRES
Tél : 33.(0)1.46.23.16.20
Internet : robert.stolz@free.fr

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