| « Wiener Café Walzer »Enregistré le 18 juillet 2022, sur la scène du « Schloßberg Kasematten » sur les hauteurs de la ville de Graz. Cette valse reprend les principaux airs de l’opérette du même nom en hommage à l’histoire des cafés viennois et créée le15 octobre 1960 à Dortmund. Au pupitre, le chef et arrangeur Siemund Andraschek. On lui doit de nombreux arrangements pour orchestre d’harmonie de compositions de Robert Stolz (« Lehár Marsch », « Frühjahrsparade-Ouverture », « Du sollst der Kaiser meiner Seele sein », « Träume unterm Christbaum », « Die Götter rufen » (de l’opérette « Trauminsel »), « Du bist meine Greta Garbo », « Es blüht eine Rose zur Weihnachtszeit », « Im Prater blüh'n wieder die Bäume », …). Le nouveau musée Robert Stolz, le « Salon Stolz », a fait appel à Siegmund Andraschek pour réaliser les arrangements des œuvres de Robert Stolz enregistrées spécialement pour le musée par l’orchestre Philharmonique de Graz. Landesjugendblasorchester (LJBO Steiermark), Arrangements & direction : Siegmund Andrasckek.
Il était une fois … une sacoche.Elle a toute une histoire. Si elle pouvait parler … Elle raconterait, qu’elle était une sorte de « porte-bonheur » pour Robert Stolz. Lorsqu'il dirigeait des concerts ou des opérettes, cette sacoche était un « must » absolu pour emporter partitions, réductions de piano, et sa baguette. A partir de 1929, Robert Stolz a toujours utilisé cette sacoche contenant ses partitions lors de ses déplacements professionnels. Ainsi, elle l'accompagna lors de son exil aux Etats Unis pour ses concerts, où il dirigea de nombreux concerts à travers les états, ainsi qu’à Broadway quand il dirigeait les représentions de la « veuve joyeuse » ou de « l’étudiant pauvre ». Lors de son retour à Vienne en 1946, on le voit à sa descente d’avion sur le tarmac portant cette même sacoche. De retour en Europe, elle le suivra à l’occasion de ses tournées « A Night in Vienna », ainsi qu'à Londres, aux Pays-Bas et jusqu'en Israël en 1963. On la retrouve dans sa loge à l'Opéra d'État de Vienne pour la représentation du Nouvel An de « La chauve-souris » en 1964 à l’invitation d’Herbert von Karajan, directeur de l’institution viennoise. Bien sûr, tout au long de sa carrière, il a continué à recevoir de nouveaux sacs en cadeau des maisons de disques, des éditeurs ou des organisateurs de concerts parce qu'ils pensaient qu'il pourrait en avoir besoin. Mais non, elle devait toujours être avec lui lorsqu'il était en déplacement. Comme ici aux Pays-Bas lors de la tournée de concerts « Un soir à Vienne - de Johann Strauss à Robert Stolz ». La photo est prise devant la Mercedes 600 de son impresario Wout van Liempt, qui le représentait (comme Louis Armstrong, Edith Piaf et les Beatles). Cette sacoche est désormais exposée, parmi d’autres objets ayant appartenu au compositeur, dans une des salles du « Salon Stolz » de Graz. « Parade de Printemps » – Baden bei Wien.Dimanche 30 juillet avait lieu la première de l’opérette de Robert Stolz devant de nombreuses personnalités politiques et culturelles. Clarissa Henry-Stolz et Hans Stolz avaient fait le déplacement.Quelques critiques du spectacle (extraits) …
Également dans le public se trouvaient Harald Serafin et Birgit Sarata, qui jouaient ensemble le couple Hansi Gruber et le lieutenant Gustl à la « Wiener Stadthalle » en 1979 (à l’occasion du centenaire du compositeur NDLR). La musique de Robert Stolz reste éternellement jeune, même dans l'ambiance impériale, et avec un peu d'habileté, des thèmes actuels peuvent également être incorporés dans les paroles (...) (Source : meinbezirk.at) Cela faisait longtemps qu’une production de Baden n'avait pas eu une telle publicité : « Parade de printemps » de Robert Stolz a non seulement été diffusée par l'ORF en différé, mais a également été projetée au festival du film sur la place de l’hôtel de ville de Vienne.(…) L'histoire à succès a débuté par une opérette cinématographique dans les années 1930, et l'œuvre n'a été adaptée pour la scène qu'en 1963. Michael Lakner, metteur en scène de la scène de Baden, qui a mis en scène la pièce dans l'arène d'été, voit dans la « Parade de printemps » le chef-d'œuvre de Robert Stolz, dont Ernst Marischka et Hugo Wiener ont contribué au livret (…) Devant, en toile de fond, la grande roue et un Heurigen, les Deutschmeister défilent, les gens dansent en costumes hongrois (Source : NÖN) Miriam Portmann joue une vraie viennoise dans le rôle de Hansi Gruber. On aimerait aussi croire que le rôle de Hansi Gruber a été écrit spécialement pour elle (…) Si vous voulez exagérer un peu, alors tout le genre de l'opérette a été écrit pour Portmann, en particulier les opérettes de Stolz, « Elles sont du baume pour la voix, les mélodies de Robert Stolz m'ont accompagnée toute ma vie, depuis mon enfance, … », s'enthousiasme-t-elle. Quand vous chantez Stolz, ça coule vraiment.(…) (Source : NÖN) De la noble conseillère privée à la tante grincheuse, de la femme d'affaires impétueuse à la naïve fille de la campagne, la scène fourmille d'archétypes viennois. « Il y a beaucoup d'opportunités pour une vraie comédie de situation », avait promis le réalisateur Michael Lakner au public, et il a tenu parole. L'ensemble a été récompensé par une standing ovation (…) « Pour moi, c'est le chef-d'œuvre de Robert Stolz, c'est une succession de tubes, chacun d'entre eux a un air accrocheur, presque une revue musicale, des mélodies plus entrainantes les unes que les autres », explique le réalisateur Michael Lakner (…) » (Source : leadersnet) Qui ne connaît pas le film « Die Deutschmeister » avec Romy Schneider, Hans Moser et Paul Hörbiger ? Moins de gens savent que Robert Stolz en a fait une opérette appelée « Frühjahrsparade ». Michael Lakner, directeur de la scène de Baden, veut changer cela et présente cette année cette pièce sur la scène estivale (…) « J'ai beaucoup vu le film et j'ai adoré l'histoire. Ce n'est que plus tard que j'ai découvert qu'il avait été adapté en opérette - et je dois dire que non seulement l'intrigue, mais aussi la musique sont tout simplement émouvantes », déclare Michael Lakner, qui assurera également la mise en scène. « Ici, vous entendez un hit magique l'un après l'autre, que vous pensiez en fait être des chansons folkloriques (…) » « Pour moi, de toutes les pièces de Stolz, c'est le chef-d'œuvre absolu. Il est dans les coffres des archives depuis bien trop longtemps, ce que je ne comprends pas. Parce que le livret et la musique entraînante sont brillants (…) » (Source : bühne-magazin) Une opérette comme preuve que le bon vieux temps a dû exister après tout. (...) Si cette œuvre a une fois de plus provoqué la jubilation lors de sa première dans l'arène d'été de la scène de Baden en 2023 avec sa marche entraînante, c'est qu'elle est due d'une part à la nostalgie sucrée et pourtant drôle d'un chère vieille Vienne, mais d'autre part aussi à la mise en œuvre magnifique. Le directeur artistique Michael Lakner s'est investi corps et âme dans la production, ou comme il le dit lui-même, il a réalisé un vœu de longue date. Michael Zehetner était au pupitre lors de la première. Vous pouviez sentir son plaisir ... à mettre en œuvre la musique de Robert Stolz dans toute sa splendeur.(Source : Kultur und Wein) Et pour conclure, la critique la plus complète,la plus détaillée, écrite par Manfred A. Schmid pour Onlinemerker. « Ce sont des histoires du soi-disant bon vieux temps dont les gens ont un besoin urgent, surtout à une époque comme celle-ci », indique le livret du programme . Ce ne serait pas la première fois que l'évasion, l'évasion de la réalité morne et menaçante dans le monde onirique transfiguré - ici dans le passé impérial et royal béni par l'opérette - est offerte comme une consolation. Toute personne suivant la programmation d'ORF 3 aura remarqué que les documentaires et les films sur les Habsbourg se sont considérablement multipliés ces derniers temps (…) Il est alors assez logique que la première de Baden diffusée en différé : « Jung san ma Fesch san ma » est un baume pour les oreilles et le cœur (…) La direction de Michael Lakner est « historique », comme il l'écrit, mais « avec les moyens d'aujourd'hui », ce par quoi il entend probablement les possibilités effectivement utilisées de la scène tournante nouvellement construite (…). Les costumes (Friederike Friedrich)sont colorés, imaginatifs. (…). Rien n'est ici remis en cause. Ici et là un clin d'œil qui veut tendrement signifier que l'on est bien conscient que le beau monde idéal qui se dessine ici n'est pas forcément à prendre au sérieux. La mise en scène est amusante et efficace. Pas trace d'ennui. Les intermèdes de ballet d’Anna sont brillamment et élégamment chorégraphiés. La danse devant la toile de fond du château de Schönbrunn pourrait certainement être enregistrée comme film d'entracte lors de la transmission du concert du Nouvel An. (…) La meilleure chose à propos de la « Parade de printemps » est la musique mélodieuse de Robert Stolz, avec des airs qui sont devenues des tubes tels que « Wien wird bei Nacht erst schön », « Ich freu mich, wenn die Sonne lacht » et « Du bist mein ganzes Dasein », qui ont longtemps été considérées comme des chansons viennoises. En conséquence, les rôles principaux sont parfaitement interprétés, à la fois vocalement et en termes d'acteur. (…) L’orchestre de la scène de Baden, dirigé par Michael Zehetner, démontre la diversité de la musique de Robert Stolz et sert les valses et marches agréables avec un don pour l'empathie. Le dramature de l’opéra Marcel Prawy a beaucoup admiré le compositeur Stolz et l'a honoré d'un concert de gala au Theater an der Wien (…) (Source : Onlinemerker) Photos : Christian Husar Pour davantage d'informations, contactez : Société Internationale Robert STOLZ Tél : 33.(0)1.46.23.16.20 Internet : robert.stolz@free.fr |
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