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Mars 2021

 

CD « Heut' ist der schönste Tag »

Martin Mitterrutzner chante des tubes de ténor des années 1930

« Le meilleur album à succès chanté par un ténor d'opéra depuis des décennies! » (Dr. Ingobert Waltenberger)

Né à Hall dans le tyrol, il y a 37 ans, Martin Mitterrutzner a reçu sa formation de Brigitte Fassbaender. Sa première expérience sur scène ? Il a alors 10 ans comme premier garçon de la Flûte enchantée de Mozart sous la direction de Sir John Eliot Gardiner. En 2007, à l'âge de 23 ans, il reçoit la médaille Eberhard Wächter de l'Opéra national de Vienne.

Martin Mitterrutzner a d'abord été membre de l'ensemble du Tiroler Landestheater, avant de rejoindre l'ensemble de l'opéra de Francfort lors de la saison 2011/2012, où il a travaillé comme Andres dans « Wozzeck », comme Giannetto dans « La gazza ladra », comme, Iopas dans « Les Troyens », comme Belmonte dans « Die Entführung aus dem Serail » et comme Fenton dans « Falstaff » dans une nouvelle production de Keith Warner . En 2014 il fait ses débuts dans le rôle de Don Ottavio dans une nouvelle production de « Don Giovanni » de Christof Loy.

En 2018, on a pu l’entendre à Francfort dans le rôle de Camille de Rosillon dans une nouvelle production de Claus Guth de « Die Lustige Witwe » et en 2019 dans le rôle de Grimoaldo dans « Rodelinda » de Handel, également réalisé par Claus Guth. La saison 2019/20 retrouve Martin Mitterrutzner dans une nouvelle production de Salomé au Theater an der Wien. Il rejoint également Gerold Huber pour un récital à la Schubertiade Hohenems et au Wigmore Hall de Londres. Il donne des concerts à Munich, Kaiserslautern, Dresde et Linz et fait ses débuts au Festival de Glyndebourne. 

Il est engagé au Festival d'Aix-en-Provence, comme Tamino à l'Opéra de Zurich, au Semperoper de Dresde, comme Pane (La Calisto) à l'opéra d'État de Bavière et au festival de Salzbourg. En 2012;  il a interprété Brighella dans « Ariadne » de Strauss, a fait ses débuts dans Naxos sous la direction de Daniel Harding et où il est revenu à l'été 2013 en tant que Ferrando dans la nouvelle production de Sven Eric Bechtolf de « Così fan tutte ». 3 ans plus tard, il fait ses débuts au Theater an der Wien.

En 2018 pour le 150ème anniversaire de Berlioz, il participe au Festival de la Côte Saint-André avec le chœur Accentus, l’Insula orchestra sous la direction de Laurence Equilbey.

En tant que soliste de concert, Martin Mitterrutzner possède un vaste répertoire allant de Bach et Haendel aux œuvres de Benjamin Britten et Sven David Sandström. Il a déjà chanté avec l'orchestre de la radio de Munich sous la direction de Jun Märkl, à l'Académie internationale Bach avec Helmuth Rilling, avec le Bamberg Symphony sous Jakub Hrůša, le chœur et l'orchestre symphonique de la radio bavaroise et l'orchestre d'État de Hesse et Marc Piollet, l'orchestre Symphonique de Montréal et Kent Nagano, le Concentus Musicus et l'Orchestre de Cleveland sous la direction de Franz Welser-Möst.

Depuis 2014, il est accompagné par le pianiste Gerold Huber dans des récitals de lieder à l'opéra de Francfort, avec l'orchestre philharmonique de Cologne, au Wigmore Hall, au Heidelberger Frühling et à la Schubertiade de Schwarzenberg.

Pour son premier CD en tant que soliste, il a choisi le répertoire des ténors des années 30. Ce CD vient après ceux de Piotr Beczala, de Daniel Behle, de Jonas Kaufmann (sans oublier Peter Schreier ou encore Fritz Wunderlich).

Le titre est un peu faux car il y a bien le répertoire des années 30 mais également quelques airs de compositeurs de l’ère nazie comme Hans Carste ou Franz Grothe membres du parti NSDAP. mais aussi des compositions orchestrales dont les 2 marches de Robert Stolz. Gruß aus Wien date de 1952 et celle des Nations Unies (1957) qui rencontre un immense succès depuis un certain concert du nouvel an à Vienne !

Un superbe enregistrement, frais, léger, … y compris la direction de Christoph Poppen (contrairement à celui accompagnant Jonas Kaufmann) La comparaison est en faveur de ce jeune ténor ! Un petit regret toutefois, pas d’orchestrations originales pour cet enregistrement mais des arrangements et orchestrations semblant dater des années 50/60 et qui ne montrent pas l’évolution du style d’orchestrations entre pré et post 1933.

 

[1] - Heut' ist der schönste Tag (Hans May)

[2] - Du bist die Welt für mich (Richard Tauber)

[3] - Ein Lied geht um die Welt (Hans May)

[4] - Hallo! Wie wär's mit einer Fahrt ins Glück?

[5] - Mon Bijou (Franz Grothe)

[6] - Plaisir d'Amour (Jean Paul Martini)

[7] - Südlich der Alpen (Ernst Fischer)

[8] - Ja, der schöne Chianti-Wein (Garhard Winkler)

[9] - Santa Lucia (Teodoro Cottrau)

[10] - Marechiare (Francesco Paolo Tosti)

[11] - L'Alba Separa dalla Luce L'Ombra (Francesco Paolo Tosti)

[12] - O Sole Mio (Eduardo Di Capua)

[13] - Gruß aus Wien op. 898 (Robert Stolz)

[14] - Wien, du Stadt meiner Träume (Rudolf Sieczynski)

[15] - Wenn es Abend wird aus "Gräfin Mariza" (Emmerich Kalman)

[16] - Ob blond, ob braun, ich liebe alle Frau'n (Robert stolz)

[17] – Vergissmeinnicht (Ernesto de Curtis)

[18] -  Uno-Marsch op. 1275 (Robert Stolz)

[19] - Ich küsse Ihre Hand, Madame (Ralph Erwin)

[20] – Mein Herz ruft immer nach dir, Oh Marita (Robert Stolz)

[21] - Heute Nacht oder nie (Mischa Spoliansky)

[22] - Still wie die Nacht (Carl Bohm)

 

Martin Mitterrutzner, ténor,

Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken Kaiserlautern,

Direction: Christoph Poppen.

Référence: SWR Music - SWR1904CD

Extraits de la critique du CD publié par Online Marker le 22 mars dernier.

« Le ténor lyrique fringant Martin Mitterrutzner le fait aussi (enregistrer ces tubes), et on pourrait en fait en rester là, s'il n'était pas tellement meilleur et … plus authentique que la plupart de ses collègues ténors (beaucoup) plus célèbres.

Martin Mitterrutzner est un ténor véritablement lyrique avec une voix de première classe, concentrée, radieuse …, qui brille aussi bien avec Mozart qu'avec le baroque et est aussi à l'aise dans l'opérette que dans le sujet italien. Avec les tubes d'Allemagne, d'Italie, de France ou de Vienne qu'il a enregistrés en octobre 2019 dans la grande salle de diffusion de la SR Saarbrücken, il fait exactement ce qu'il faut: il les laisse être simplement des tubes. Vous êtes assuré de ne pas attraper un Kalaff ou un Cavaradossi sur la mauvaise piste de la soi-disant muse légère. Avec un mélange très charmant de garçon nature tyrolien et de dandy décadent, il ravit à tous les niveaux. Tantôt comme un Max Raabe, tantôt un Kowalski, parfois une pose à la Jan Kiepura, il sait jongler entre les miroitements entre baryton et ténor, poitrine, voix mixtes et voix de tête.

En conclusion, le meilleur album à succès chanté par un ténor d'opéra depuis des décennies! ».

Dr. Ingobert Waltenberger

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CD « Schöne, radhlende Welt »

 

En 1977 sous le label ETERNA, deux ans après son LP « Peter Schreier singt Weihnachtslieder », le plus grand succès discographique classique de la RDA, le ténor, chanteur de lieder, d’oratorio, de Bach, de Mozart, … s'essaie à nouveau à la chanson populaire, mêlant évidemment ses coups de cœur au répertoire moins sérieux. Opérette, arrangements mélodieux de mélodies connues, temps forts de l'opéra, mélodies de Grieg, à Chopin, en passant par Kálman et Stolz.

Cet enregistrement ressort pour la 1ère fois en CD aujourd’hui, restauré, sous le label Berlin Classics. Cinq titres de son album « O Sole Mio » le complète.

De nombreux articles dans la presse allemande (Die Welt par exemple) sont publiés ce mois pour souligner la qualité de cet enregistrement mais également pour le resituer dans le contexte sociétal, politique de l’époque.

Un monde magnifique et radieux

« … Mais il y a des beautés comme « Eine wie du war immer mein Traum » de l'opérette « Venus in Seide » de Robert Stolz. L'enregistrement de Schreier n'est en fait nulle part ailleurs, et nous dépendons donc vraiment de cette parution pour pouvoir découvrir comment le ténor interprète cette merveilleuse chanson d'amour, qui me parle de l'âme, avec douceur et en même temps avec verve lors l'écoute. Dans cette chanson en particulier, la confiance du chanteur dans son interprétation devient si claire, et où Peter Schreier reste toujours dans une tradition classique … »

Source: Orchestergraben - Stefan Pillhofer - 19 mars 2021.

[1] - Komm in die Welt

[2] - In mir klingt ein Lied

[3] - Ich Liebe dich

[4] - Granada

[5] - Caro mi oben

[6] - Sprich zu mir von Liebe

[7] - Frühlingszeit

[8] - Grüß mir di süßen, die reizenden Frauen

[9] - Serenade (Fern im weiten Land)

[10] - Schöne, strahlende Welt

[11] - Vaghissima sembianza

[12] - Inmitten des Balles beim Feste

[13] - Eine wie du war immer mein Traum

[14] - Letzter Frühling

[15] - Mattinata

[16] - Du bist die Welt für mich

[17] - Chianti-Lied (Tarantella)

[18] - O Sole Mio

[19] - Heute Nacht oder nie

 

 

Peter Schreier, ténor,

Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin,

Direction: Robert Hanell.

 

Référence: Berlin Classics 0301746BC

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Pour davantage d'informations, contactez :

Société Internationale Robert STOLZ
19, rue de Ville d'Avray F-92310 SEVRES
Tél : 33.(0)1.46.23.16.20
Internet :
robert.stolz@free.fr

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