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Mars 2022

 

Ukraine

En 1981, était publié l'album « Ein Leben zu zweit » de Nana Mouskouri entièrement consacré à des mélodies de Robert Stolz. Cet album contenait plusieurs titres en français dont un intitulé « où vas-tu la Terre » (texte de Pierre Delanoé et Claude Lemesle). Pour la petite histoire, pendant l’enregistrement dans les studios du Palais des Congrès de Paris, un trompettiste était au même moment dans les locaux. Il a accepté de jouer la partie pour trompette. C'était Georges Jouvin. Ce dernier, séduit par la musique, a enregistré par la suite cet air dans sa version trompette/orchestre. Malheureusement, le projet n'a pas abouti et est resté à l'état de maquette.

A écouter en pensant à ce qui se passe actuellement aux portes de l’Europe.

Où vas-tu la terre
Le dos couvert d'armées
Où vas-tu la terre
Mon pays
Entends-tu la terre
Ces bruits de fers d'acier
C'est l'alarme qui a sonné

Mais nous sommes des millions
Tes enfants, tes compagnons
Malgré toi, c'est nous qui te sauverons
Où vas-tu la terre
D'un air si fatigué
Où vas-tu la terre
Mon amie

Entends-tu la terre
Le chanson des guerriers
C'est l'alarme qui a sonné
Garde-toi la terre
On a besoin de toi
On te fait la guerre
Défends-toi

Où vas-tu la terre
Comme un cheval blessé
Où vas-tu la terre
Ma Patrie
Entends-tu la terre
Ce cri de nouveau-né
C'est l'espoir de l'humanité

Le titre original est « Das Signal erklingt ».

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Concerts

Gstaad – Festival Menuhin 2022

Le festival 2022 est consacré à la musique à Vienne sous toutes ses formes de Haydn à Robert Stolz donc !

Un extrait du communiqué de la direction :

« ... L'influence de l'authentique « Wiener Lied » – celui que l'on chante dans la rue, dans les pintes et les salons – se manifeste principalement dans les opérettes de Franz Lehár (« Ich bin ein Wienerkind »), Johann Strauss Fils (« Draussen in Sievering »), ou encore Robert Stolz (« Im Prater blüh'n wieder die Bäume »). Le lied est-il pour autant un art typiquement viennois ? Une chose est sûre : les compositeurs viennois du temps de la Sécession – ces années autour de 1900 qui marquent une forme de rupture – continuent à développer le genre. On peut citer Alexander von Zemlinsky avec ses Walzergesänge, Arnold Schönberg et ses Cabaret Songs ou, plus tard, entre les deux guerres, Erich Wolfgang Korngold avec son « Sonett für Wien », ou encore Erich Zeisl et ses Brettl-Lieder. Ces pages se caractérisent souvent par un message double, elles interpellent par leur côté tantôt tragique, tantôt humoristique.

Et surtout elles sont traversées par cet humour viennois et ce « Schmäh » si difficile à comprendre pour les non-viennois. Tandis que le profane a tendance à l'assimiler à une forme d'insulte, à Vienne, au contraire, il est synonyme de « charme », de civilité – même si, c'est vrai, il peut aussi véhiculer des allusions indirectes, voire même cachées, se doublant souvent d'une bonne dose d'humour noir. Ainsi, on peut légitimement se demander pourquoi il faudrait rire en écoutant « Tauben vergiften im Park » (Empoisonner les pigeons dans le parc) ? Dans son lied, Georg Kreisler ne donne pas de réponse claire, nous embrumant au contraire dans l'univers de la duplicité. »

 

Récital Daniel Behle

 

« Vienne ne serait pas Vienne sans ses valses et ses polkas emblématiques, pas plus que sans ses opérettes d'un kitsch délicieux, au style inimitable. Ténor hambourgeois installé à Bâle, lauréat en 2004 du Concours international Robert Stolz (l'un des rois justement de l'opérette autrichienne), Daniel Behle en propose un magnifique florilège, agrémenté de quelques pages de sa propre composition (dont les titres témoignent d'un sens certain de l'autodérision) et de quelques «tubes» de Johann Strauss Fils sous les doigts du pianiste Christian Koch. En avant-goût, nous ne saurions que trop vous recommander de revivre son fantastique récital de lieder de Beethoven présenté le 14 août 2020 en l'église de Saanen au côté de Jan Schultsz, proposé en vidéo sur notre plateforme Gstaad Digital Festival !»

Programme :

Robert Stolz (1880-1975)

 

« Wien wird schön erst bei Nacht » (texte : Wilhelm Sterk),

« Ob blond ob braun » (texte : Ernst Marischka),

« Auch du wirst mich einmal betrügen » extrait de l'opérette « Zwei Herzen im Dreivierteltakt » (texte : W. Reisch / A. L. Robinson),

« Im Prater blühn wieder die Bäume » (texte : Kurt Robitschek).

Johann Strauss II (1825-1899)

« Tritsch-Tratsch Polka » pour piano seul.

Daniel Behle (1974)

 

« Ich bin stolz auf meinen Steinway » (texte : Daniel Behle),

« FC St. Pauli » (texte : Daniel Behle),

« Auf der Reeperbahn » (texte : Ralph Arthur Roberts).

Johann Strauss II (1825-1899) 

« Wiener Blut » pour piano seul.

Franz Lehár (1870-1948)

 

« Immer nur lächeln » extrait de l'opérette « Das Land des Lächelns »,

« Wie eine Rosenknospe » extrait de l'opérette « Die lustige Witwe ».

 

Daniel Behle, ténor,

Christian Koch, piano.

19h30, Eglise de Zweisimmen.

Vendredi 12 août 2022

Sydney

Récital « Poetry in Sound ».

Au programme des œuvres de Joseph Haydn, Franz Schubert et Robert Stolz.

 

Bo Skovhus, baryton,

Simone Young, piano,

Opéra de Sydney - Grande salle de concert.

Vendredi 5 août 2022.

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Pour davantage d'informations, contactez :

Société Internationale Robert STOLZ
19, rue de Ville d'Avray F-92310 SEVRES

Tél : 33.(0)1.46.23.16.20
Internet :
robert.stolz@free.fr

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